Les roses et le verglas compte 44 nouvelles brèves et denses où il est question du passage du temps, de l’amour, du quotidien. Les sujets sont exécutés avec une justesse de style et de ton propre à l’auteur. Un regard pénétrant qui arrête le temps, isole le moment précis et le porte à l’universel.
Surtout ne pas bouger, afin de maximiser les chances de percevoir non pas un, non pas mille, mais tous les mouvements du monde.