Dans Aveux et confidences, Maurice Henrie adopte, à la manière des essais de Montaigne, le ton familier du compagnon fidèle, du confident qui se livre sans retenue.
D’une manière libre, il évoque autant d’anecdotes tirées de sa riche expérience de vie qu’il entame de réflexions profondes sur les sujets qui le captivent, tels que la politique (au grand jour comme en coulisses), les histoires (la grande et les petites), la démocratie, la condition minoritaire, les avancées scientifiques, le rire, le sport, l’amitié des hommes et celle… des femmes. Pour lui, rien de trop banal ni quotidien, de trop beau ni trop grand qui ne puisse retenir son attention. Ses réflexions le révèlent fin observateur de la condition humaine.
L’ensemble en apparence hétéroclite que constitue Aveux et confidences est étroitement uni par le regard de l’homme arrivé à maturité qui reprend tranquillement des questions qui l’ont animé toute sa vie.
DANS LES MÉDIAS
Toujours pénétrant, le propos interroge, stimule, éclaire. Aucune indiscrétion, aucun voyeurisme, aucun effort pour s’attribuer le tonnerre, mais un beau déploiement de culture, d’humanisme, de solidarité discrète et généreuse.
– Laurent Laplante, Nuit blanche, no 136.
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