Trois pièces de Michel Ouellette. La Dernière fugue : Charles, coincé dans le plancher, son grand-père Fred, vieillard bardé d’un brassard à croix gammée, son amie Mimi, écrivaine surgie en bikini d’un immense gâteau: trois êtres qui amalgament passé et présent, fiction et réalité, en une quête vertigineuse où chacun pourchasse ses origines et fouille son identité. Duel : Blanche refuse d’aller plus loin dans la pièce qu’elle répète avec Édouard. Elle appelait celui-ci «Heidi» et lui faisait porter des robes car elle aurait aimé qu’Édouard fût une fille, mais un jour celui-ci a retrouvé sa véritable identité. «King Edward» : Le fils du bon docteur Roy, Édouard, pressenti pour reprendre le flambeau de ce grand défenseur du fait français à Ottawa, voit sa carrière politique compromise. Il s’est amouraché d’une femme mariée qui le repousse malgré leur amour secret. En retrouvant l’assassin de son père, Édouard comprend que ce dernier a péri parce qu’il vivait aussi un amour interdit.
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