En quête du lieu où souffle l’Esprit, La voyageuse incarne la fidélité intérieure et la simple présence au monde, une présence vive délestée du poids et de la rigidité de la matière. Jusqu’à la rive pierreuse encore jamais foulée, une femme vigie avance. Femme-phare, lumière et guide, elle observe et veille sur le sens de la vie, pour ne pas qu’il lui échappe. Ces poèmes sont un chant à la limite et à l’absence de limites.
Le recueil est disponible au format numérique dans l’anthologiie Sol Ciel Ciels Sols.