Deux hommes. Un père-fils et un fils-père.
Le premier est incarcéré pour un crime scabreux ourdi par l’autre, quant à lui impuni mais séquestré dans la pire des prisons : la mémoire. Un crime catalysé par une soif de rédemption jamais étanchée.
Une femme qui n’a commis qu’un méfait : celui d’être devenue mère.
Ce récit poétique plonge au cœur d’un drame humain qui touche aux limites de la filiation. Ailes de taule, le premier recueil publié par Éric Charlebois aux Éditions Prise de parole, fait suite à un stage d’écriture en milieu carcéral qui a fortement marqué son créateur.
DANS LES MÉDIAS
Ailes de taule, le premier recueil du poète franco-ontarien Éric Charlebois aux Éditions Prise de parole, sera sans doute reconnu comme un moment charnière dans l’œuvre de cet auteur dont le travail ne manque jamais d’innovation et d’audace.
– Daniel Aubin, Le Voyageur
Ailes de taule est un recueil plutôt original dans sa forme, et porteur d’une voix forte et singulière.
– Mathieu Simoneau, Les Méconnus
Ailes de taule réussit relativement bien dans l’ensemble à nous faire vivre une expérience sensible par le texte. Le récit s’avère finement dissimulé dans diverses adresses directes et indirectes au fils comme au père, traçant une zone où l’émotivité des personnages vient occuper l’avant-scène.
– Jean-Simon DesRochers, Estuaire
Au rythme des publications de ce talentueux poète, le contenu, la trame, le puzzle, l’assemblage des fragments, bien plus que les jeux du langage, gouvernent la création du poème.
– Catherine Parayre, Voix plurielles