Une femme déconnectée, vidée. Autour d’elle, ou peut-être en elle, une succession d’images personnifiées, fantasmées ou horrifiantes : vidangeur sexy, dentistes admirablement de gauche, petit couple d’emmerdeurs bourgeois, pimp, pute, punk virulent. Le monde intérieur de Solange nous apparaît comme un film présenté au ralenti, dont des morceaux auraient été volontairement coupés.
