Dérive novembre invite à se laisser porter par les sens, au fil de fragments où règnent les atmosphères, lumières, parfums, goûts et sons qui le composent. En toute sensualité, le lecteur participe à l’errance d’un poète qui, entre rêve et éveil, entre songe et matérialité, évoque son rapport au monde et à l’écriture. S’esquisse ainsi en filigrane un récit aux tonalités multiples qui, à la manière d’une symphonie, culminera, au bout de la dérive, dans une finale rageuse et fulgurante.
DANS LES MÉDIAS
Peu s’en faut que le poète soit proche d’une pas si lointaine poésie atmosphérique, teintée d’un romantisme anachronique. Mais étant musicien lui-même, la musique des mots et des vers n’échappe pas à sa manière tranquille de rester au coeur de l’émotion.
– Hugues Corriveau, Le Devoir.
Toujours sur la route entre deux villes ou entre deux pays, Fredric Gary Comeau se laisse inspirer par les sens, les émotions et les ambiances qui le guident dans son écriture. Avec son 13e recueil, Dérive novembre qu’il vient de publier chez Prise de parole, il pousse encore plus loin l’exploration de ce monde situé entre le rêve et la réalité.
– Sylvie Mousseau, Acadie Nouvelles.